La kasbah des Oudaya(s), ou Oudaïa(s), est un ancien camp militaire fortifié situé à Rabat et bâti au xiie siècle, construite initialement par les Almoravides pour lutter contre les tribus berghouatas. Elle ne devient importante que avec les Almohades, qui en font un camp militaire, un ribat surplombant l'embouchure du fleuve Bouregreg et le nomment Mehdiya. La kasbah sert de base aux armées marocaines partant à la conquête de l'Andalousie, dirigées par la dynastie Almohade.
ruelle de la kasbah
ruelle de la kasbah
café de la kasbah
le fleuve Bouregreg
le fleuve bouregreg
café de la kasbah
ruelle de la kasbah
la kasbah
Il se faisait appeler Turambo, du nom du village misérable (Arthur Rimbaud) où il était né, dans l'Algérie des années 1920. Il avait pour lui sa candeur désarmante et un direct du gauche foudroyant. Il fréquenta le monde des Occidentaux, connut la gloire, l'argent et la fièvre des rings, pourtant aucun trophée ne faisait frémir son âme mieux que le regard d'une femme. De Nora à Louise, d'Aïda à Irène, il cherchait un sens à sa vie. Mais dans un monde où la cupidité et le prestige règnent en maîtres absolus, l'amour se met parfois en grand danger.
Dans ce livre Yasmina khadra , nous livre beaucoup de vérités, difficiles, sur la nature humaine,sur l'histoire de l'Algérie sous l'occupation , des vérités aussi sur le racisme méchant et dégoûtant, mais qui était si quotidien dans cette Algérie française.
C'est mon premier livre de Yasmina Khadra , j'ai aimé . A lire.
CITATIONS :
• il y a toujours une vie après l'échec, la mort seule est définitive.
• Rien n’est tout à fait acquis, et aucune misère n’est insurmontable. La belle vie, c’est du bluff. On rigole en se mentant, on se la coule douce en sombrant, et on se fout des autres comme on se fout de soi. Mais la dèche, c’est du sérieux. Tu en prends plein la gueule, et ça te tient en éveil. Si tu dis pouce ! personne ne t’entend. Tu apprends à ne compter que sur toi.
• l'amour ne s'apprivoise pas, ne s'improvise pas, ne s'impose pas; il se construit à deux. En toute équité. S'il reposait sur l'un, l'autre serait son malheur potentiel. Quand on court après lui, on l'effraie; alors il s'enfuit, et on ne le rattrape jamais
• Le rêve est le tuteur du pauvre, et son pourfendeur. Il nous tient par la main, puis il nous tient dans la sienne pour nous larguer quand il veut après nous avoir baladés à sa guise à travers mille promesses. C’est un gros malin, le rêve, un fin psychologue : il sait nous prendre à nos propres sentiments comme on prend au mot un fieffé menteur ; lorsque nous lui confions notre cœur et notre esprit, il nous fausse compagnie au beau milieu d’une déroute, et nous nous retrouvons avec du vent dans la tête et un trou dans la poitrine , il ne nous reste plus que les yeux pour pleurer.
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